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Il est loin le temps des Kia impersonnelles. Aujourd’hui, c’est l’inverse, à l’image de la nouvelle Rio. Une réussite visuelle.
Kia-Rio1
Il y a quelque temps déjà, Kia a confié la direction de son département design à un dénommé Peter Schreyer. Lequel, selon toutes les apparences, connaît son métier, en ajoutant une grosse dose de talent. Pour preuve, sa dernière œuvre en date, le tout récent Sportage, est assurément l’un des SUV les plus racés du moment. L’un des plus personnels aussi, avec une forte connotation « premium » même si l’engin se vend à des prix raisonnables. Identifiable entre mille, en sus. Au fil du renouvellement de sa gamme, le constructeur coréen instaure dans la durée ses codes stylistiques, marqués par des traits saillants et des face avant très expressives. Loin, très loin, des voitures insipides qu’il produisait il n’y a pas si longtemps. La métamorphose est saisissante. Comparez l’actuelle Rio avec sa remplaçante du même nom, pour vous faire une petite idée de l’ampleur du phénomène.
Kia-Rio3
Ledit Schreyer s’est, à l’évidence, lâché, en multipliant à l’envi courbes marquées et angles vifs. Un pari risqué dans une catégorie, celle des citadines polyvalentes, emprunte de classicisme bon teint, où l’originalité est généralement bannie. Pari qui peut cependant s’avérer payant, tant la nouvelle Rio tranche sur le commun de son espèce. Témoins, ses flancs creusés en forme de lame de couteau inversée, du plus bel effet visuel. Soulignée par des optiques étirées qui s’étendent loin sur les ailes et encadrent une fine calandre, elle-même très travaillée, la face avant se tient dans le ton, et le tout signe une voiture athlétique. Limite agressive, dans le bon sens du terme. La ceinture de caisse élévée, le pavillon à peine courbé et la lunette arrière très inclinée font le reste.
Kia-Rio4
Résultat, Kia lance dans les roues de la concurrence une auto qui sort de l’ordinaire, sans sombrer dans l’excès. La juste mesure entre banalité et outrance, en quelque sorte. Ladite concurrence a donc du souci à se faire, si la présentation intérieure et les prestations dynamiques sont à la hauteur de l’enjeu. Au regard des récentes productions de la marque, cela devrait être le cas.
Kia-Rio2
Sur le fond, et par rapport à sa devancière, la Rio prend ses aises. Elle s’allonge, s’élargit et s’abaisse dans le même mouvement, pour atteindre au final, 4,05 m en longueur, 1,72 en largeur et 1,46 m en hauteur. Des dimensions qui font d’elle l’une des réprésentantes les plus imposantes du segment. Au même titre que la Peugeot 207 ou l’Alfa Romeo MiTo, pour la situer. L’empattement, lui, s’etend sur 2,57 m, et c’est, là encore, l’un des plus longs de la catégorie. On peut donc parier, sans gros risque de se planter, sur un volume habitable généreux.
Kia-Rio6
La Rio, enfin, fera appel à quatre motorisations pour se déplacer. Deux essence et deux diesels, plutôt modestes au demeurant puisque l’ensemble de la gamme va de 70 à 109 ch. Sont donc recensés, côté essence, un 1.2 de 85 ch et 1.4 de 109 ch, et, côté diesel, un trois-cylindres 1.1 de 70 ch et le bien connu 1.4 de 90 ch. Tous ces moteurs, c’est à noter, peuvent recevoir le renfort du dispositif dit ISG, composé d’un système Stop & Start, d’un alternateur dernier cri et de pneus à fable résistance au roulement. Avec à la clef des rejets de CO2 qui feront l’effet d’une petite bombe dans le landernau automobile. Ainsi équipée, la Rio 1.1 CRDi 70 n’émettra que 85 g/km et benéficiera donc du bonus à 800 €. Elles sont rares dans ce cas.
Commercialisation au mois de septembre, en carrosseries trois et cinq portes.
Il est loin le temps des Kia impersonnelles. Aujourd’hui, c’est l’inverse, à l’image de la nouvelle Rio. Une réussite visuelle.
Kia-Rio1
Il y a quelque temps déjà, Kia a confié la direction de son département design à un dénommé Peter Schreyer. Lequel, selon toutes les apparences, connaît son métier, en ajoutant une grosse dose de talent. Pour preuve, sa dernière œuvre en date, le tout récent Sportage, est assurément l’un des SUV les plus racés du moment. L’un des plus personnels aussi, avec une forte connotation « premium » même si l’engin se vend à des prix raisonnables. Identifiable entre mille, en sus. Au fil du renouvellement de sa gamme, le constructeur coréen instaure dans la durée ses codes stylistiques, marqués par des traits saillants et des face avant très expressives. Loin, très loin, des voitures insipides qu’il produisait il n’y a pas si longtemps. La métamorphose est saisissante. Comparez l’actuelle Rio avec sa remplaçante du même nom, pour vous faire une petite idée de l’ampleur du phénomène.
Kia-Rio3
Ledit Schreyer s’est, à l’évidence, lâché, en multipliant à l’envi courbes marquées et angles vifs. Un pari risqué dans une catégorie, celle des citadines polyvalentes, emprunte de classicisme bon teint, où l’originalité est généralement bannie. Pari qui peut cependant s’avérer payant, tant la nouvelle Rio tranche sur le commun de son espèce. Témoins, ses flancs creusés en forme de lame de couteau inversée, du plus bel effet visuel. Soulignée par des optiques étirées qui s’étendent loin sur les ailes et encadrent une fine calandre, elle-même très travaillée, la face avant se tient dans le ton, et le tout signe une voiture athlétique. Limite agressive, dans le bon sens du terme. La ceinture de caisse élévée, le pavillon à peine courbé et la lunette arrière très inclinée font le reste.
Kia-Rio4
Résultat, Kia lance dans les roues de la concurrence une auto qui sort de l’ordinaire, sans sombrer dans l’excès. La juste mesure entre banalité et outrance, en quelque sorte. Ladite concurrence a donc du souci à se faire, si la présentation intérieure et les prestations dynamiques sont à la hauteur de l’enjeu. Au regard des récentes productions de la marque, cela devrait être le cas.
Kia-Rio2
Sur le fond, et par rapport à sa devancière, la Rio prend ses aises. Elle s’allonge, s’élargit et s’abaisse dans le même mouvement, pour atteindre au final, 4,05 m en longueur, 1,72 en largeur et 1,46 m en hauteur. Des dimensions qui font d’elle l’une des réprésentantes les plus imposantes du segment. Au même titre que la Peugeot 207 ou l’Alfa Romeo MiTo, pour la situer. L’empattement, lui, s’etend sur 2,57 m, et c’est, là encore, l’un des plus longs de la catégorie. On peut donc parier, sans gros risque de se planter, sur un volume habitable généreux.
Kia-Rio6
La Rio, enfin, fera appel à quatre motorisations pour se déplacer. Deux essence et deux diesels, plutôt modestes au demeurant puisque l’ensemble de la gamme va de 70 à 109 ch. Sont donc recensés, côté essence, un 1.2 de 85 ch et 1.4 de 109 ch, et, côté diesel, un trois-cylindres 1.1 de 70 ch et le bien connu 1.4 de 90 ch. Tous ces moteurs, c’est à noter, peuvent recevoir le renfort du dispositif dit ISG, composé d’un système Stop & Start, d’un alternateur dernier cri et de pneus à fable résistance au roulement. Avec à la clef des rejets de CO2 qui feront l’effet d’une petite bombe dans le landernau automobile. Ainsi équipée, la Rio 1.1 CRDi 70 n’émettra que 85 g/km et benéficiera donc du bonus à 800 €. Elles sont rares dans ce cas.
Commercialisation au mois de septembre, en carrosseries trois et cinq portes.